DACHSER étend ses activités d'affrètement à long terme
DACHSER Air & Sea Logistics renforce son programme d'affrètement entre Hong Kong et l'Europe par un contrat à long terme. Le prestataire logistique sera ainsi en mesure d'offrir à ses clients des capacités de fret aérien fiables de janvier 2022 à mars 2024.
A l'avenir, DACHSER exploitera un Boeing 747-400F sur la ligne Hong Kong-Liège et vice-versa. Cet appareil, qui volera à heures fixes, pourra accueillir jusqu'à 100 tonnes de fret. "La demande de fret aérien n'a jamais été aussi forte", déclare Timo Stroh, Head of Global Air Freight chez DACHSER. "Les capacités de fret aérien sont extrêmement limitées. Nous continuerons donc à nous appuyer sur un réseau solide avec nos propres capacités et à planifier de manière anticipée et à long terme."
La flexibilité grâce à des itinéraires alternatifs
Pour éviter les goulets d'étranglement au niveau des expéditions, DACHSER Air & Sea Logistics opère dans des aéroports plus petits, comme celui de Liège en Belgique. Cet emplacement est relié au réseau de transport terrestre du prestataire logistique, ce qui permet d'accélérer les processus d'enlèvement et de livraison. "Notre expertise en matière de réseau intégré signifie que nous pouvons offrir une solution complète à partir d'une seule source - de l'usine de production au client final", explique M. Stroh. "En particulier dans les périodes difficiles, assurer des opérations de marché stables et fiables exige des solutions intelligentes et créatives."
En établissant son propre réseau de fret aérien avec des capacités dédiées, DACHSER apporte une sécurité à ses clients sur les liaisons de fret les plus importants entre l'Europe, l'Asie et les États-Unis pendant une période de grande pénurie de capacités. Rien qu'en 2021, le prestataire logistique a géré 175 vols charter impliquant douze lieux d'expédition réguliers et 15 destinations. "Nous répondons à la demande du marché en offrant à nos clients une transparence en matière de planification et un service fiable grâce à des temps de transit fixes", explique M. Stroh.